Plusieurs contre-attaques allemandes font faillites dans les régions de la rivière de l’Orne.  Quoi que ce soit, le Mur de l’Atlantique a été gravement affaibli mais la résistance alliée doit continuer.  La situation est fragile, surtout à Omaha Beach et le débarquement doit se poursuivre pour garder plus qu’un pied en Normandie.

            La plupart des tentatives de repoussement des Allemands se sont faits au nord, surtout à la recherche de d’autres troupes d’invasion (Kemp, 1994, p.78).  Ça doit être à cause de Von Rundstedt et le commandant de la Wehrmacht, qui croient fortement que le débarquement n’est qu’une diversion.  Par contre, deux divisions de Panzer sont sous la directive expresse de Hitler.  Ironiquement, due au décalage de fuseaux horaires, Hitler dort à Berchtesgaden en Allemagne.  Ce n’est que le lendemain qu’il donne l’ordre aux chars de porter une offensive.  Ils sont plus tard partiellement détruits par des modèles de canons portables (genre de bazooka anglais).